Le Niger a célébré, à l’instar des autres pays africains, la 29e édition de la Journée Africaine de la Statistique. Les activités entrant dans le cadre de la célébration de cette importante journée ont été lancées, le lundi 18 novembre à Niamey, dans les locaux de l’Institut National de la Statistique (INS), sous la présidence du ministre de la Santé publique, Dr Illiassou Mainassara, qui assurait l’intérim de son homologue du Plan ; du PCA ; du Directeur général ainsi que des cadres de l’INS, des autorités régionales et communales ;  des représentants de plusieurs institutions nationales et organisations internationales, ainsi qu’un public venu massivement assisté à l’évènement, et au sein duquel on comptait une forte communauté des professionnels de la statistique.

La capitale du Niger a abrité, du 13 au 15 novembre, un atelier régional de formation des acteurs de l’Etat de droit en Afrique de l’ouest. C’est à l’hôtel Radisson Blu que se sont déroulés les travaux de l’atelier, organisé par le Département des affaires politiques de la Commission de l’Union africaine (UA) et le Centre d'études linguistiques et historiques par tradition orale (CELHTO).

La justice bissau-guinéenne a condamné, ce lundi 18 novembre, le nigérien Mohamed Sidi Ahmed, à 15 ans de prison,  pour « trafic de drogue », selon un communiqué du ministère de la Justice rapporté par l’AFP.  Condamné par le tribunal de Bissau, Mohamed Sidi Ahmed est « détenteur d'un passeport diplomatique nigérien »,  et selon la même source,  il est présenté par les autorités bissau-guinéennes comme un conseiller en communication du président de l'Assemblée nationale du Niger, Ousseini Tinni. A l’époque des faits, des proches du cabinet du président du parlement nigérien, avaient nié toute proximité avec l’intéressé, membre d’un parti de la majorité, « qui n’avait aucune mission officielle », selon ces derniers.

Le bilan de l’accrochage, ce lundi 18 novembre à Tabankort (Gao), entre les Forces armées maliennes (FAMa) et des terroristes, s’est alourdi. Selon une mise à jour, dans la soirée, de l’Etat-major des FAMa, 29 soldats maliens ont été tués, 29 autres blessés et des dégâts matériels enregistrés. « Coté ennemi, on dénombre selon la même source, 17 terroristes tués, ainsi qu’une centaine de suspects appréhendés entre les mains des Forces nigériennes à Tiloa et 70 motos détruites ».

A l'occasion de la célébration de la Journée Mondiale de l'Enfance et des 30 ans de la Convention relative aux Droits de l'Enfant, le 20 novembre, des enfants "prendront les commandes" des médias nationaux pour faire entendre leurs voix sur des sujets qui les concernent. Ils assumeront le rôle de journalistes, de reporters et d'animateurs pour exprimer leur soutien à leurs pairs, notamment ceux qui restent encore privés de leurs droits fondamentaux.

Photo d'illustration

Le chef de village de Boni, localité située à 25 km d’Ayorou dans la commune d’Anzourou (Région de Tillabéri), a été retrouvé assassiné, ce mardi 12 novembre, aux environs de 16H00. Selon des sources locales, le corps du notable a été retrouvé par des habitants de la zone, moins de 24h après son enlèvement par des individus armés, à quelques kilomètres  du village dont il est le chef. La victime, Ali Mainassara, a été en effet enlevée par des individus armés,  la veille, par des individus armés qui ont semé la panique sur les lieux, avant de promettre de revenir.

Le Ministre d’Etat, de l’agriculture et l’élevage Albadé Abouba, en compagnie de l’Ambassadeur de France au Niger Mr Alexandre Garcia, le Représentant d’ORANO Niger Pascal Bastien et des autorités administratives et coutumières de la région d’Agadez, a visité ce vendredi 8 novembre, le site du projet Irhazer. Au cours cette sortie sur le terrain, le Ministre Albadé Abouba a fait le point, avec les responsables du projet et les exploitants, de l’évolution du projet, les réalisations, les difficultés rencontrées et les perspectives.

Le chef  du village de Boni, situé à 25 km d’Ayorou dans la commune d’Anzourou (Région de Tillabéri), a été enlevé, lundi 11 novembre dans la nuit, par des individus armés. Selon des parents de la victime, les assaillants ont d’abord incendié la maison du notable, ensuite celle de son fils, avant de piller le commerce appartenant à ce dernier, et de s’enfuir par la suite avec leur otage. Plus de 24h après, les proches du chef du village affirment être sans nouvelles de lui, et suite à la psychose engendrée par cette attaque, les habitants ont commencé à vider les lieux.