La Renaissance Culturelle au Niger : au-delà des supputations et de la confusion
Dans son programme politique du deuxième mandat, le Président de la République a placé en première position de ses priorités, la « Renaissance Culturelle. ».
Dans son programme politique du deuxième mandat, le Président de la République a placé en première position de ses priorités, la « Renaissance Culturelle. ».
Le contexte national et international dans lequel nous vivons aujourd’hui devrait nous amener à réfléchir à une nouvelle redéfinition de l’Etat et de ses institutions. Redéfinir le Niger que nous voulons pour demain avant qu’une possible déflagration ne nous fasse perdre totalement toute initiative.
Confronté à d’énormes difficultés dans la mobilisation de ressources financières, l’Etat du Niger est au bord d’une grave crise de trésorerie. En effet, les séries d’arriérés de salaires et les créances des opérateurs économiques et des bailleurs constituent quelques illustrations.
Après les deux élections présidentielles passablement démocratiques et peu crédibles organisées au Niger, le Président Issoufou Mahamadou doit en principe convoquer le corps électoral pour les élections locales permettant la mise en place des autres institutions de la République, malheureusement il en a décidé le report in extremis ce qui vient confirmer la mauvaise santé économique que traverse déjà le pays.
BokoHaram est là. La secte impie tue, pille, brûle et ébranle. Des concitoyens meurent, fuient, ils sont désemparés, déroutés. Notre pays résiste, persiste et se tient débout. La secte perd aussi du cran. Grace au patriotisme de nos soldats. Tels sont les faits. Ils sont criards, têtus, funestes.
L’essentiel ici, ce n’est pas la « guerre » des chiffres, mais bien la « bataille » de la résistance, celle des moyens de conflit, de riposte pour anéantir la secte sombre. C’est aussi de chercher à savoir pourquoi ça « dure », c’est d’auditer tout le système de riposte, de contingence, toute « l’administration » de cette « guerre » qui ne fait que trop durer.
Je ne ferais pas comme les « autres » ! Je vous adresse mes encouragements pour votre réélection. Une fois encore, je n’ai pas de superlatif pour qualifier votre réélection, et de là, ferais économie de tout ce qui a été dit sur les votes de février-mars. L’histoire nous le racontera.
Lorsque j’étais journaliste, à la Maison de l’Information qui fut bien après baptisée Office National d’Edition et de Presse ONEP , beaucoup de nos collègues étaient fiers d’avoir créé des rubriques. Celles qui ont permis aujourd’hui, à ceux qui cultivent et labourent dans notre jardin commun ( la Presse) de faire fructifier ces bonnes idées.
Dans votre réponse à un écrivain publiée le 13 mai 2016 en réaction à votre lettre adressée à vos amis du PNDS, j’ai pu lire : « …Mais j’ai dit que ce domaine de la qualité - aujourd’hui déplorable-est un problème capital, qui n’a pas été pris en compte par le régime actuel, pas plus que les précédents ».
Depuis son évacuation sanitaire, sous escorte américaine, que d’aucuns ont qualifié d’exfiltration, Hama Amadou est devenu sublimement taiseux. Un silence sonore semble s’emparer de l’homme qui se répandait jadis sur les plateaux de télés et dans les studios de radios internationales, et qui ne faisait pas dans la dentelle, à la fois dans la presse hexagonale, panafricaine que nationale.
Copyright © 2022, ActuNiger. Tous droits réservés. Designed by KM Media Group
Commentaires