Insécurité : une vingtaine de soldats tués suite à une attaque vers Banibangou (Tillabéri)
Une vingtaine de militaires nigériens ont été tués, hier mardi, suite à une attaque contre leur position par des individus armés à Intoussan, à une vingtaine de kilomètres de Banibangou, près de la frontière malienne. Le bilan est encore provisoire et les assaillants qui sont venus en nombre ont également détruit et emporté du matériel militaire.
L’attaque a été confirmée par des sources sécuritaires et un communiqué du gouvernement est attendu dans les heures qui viennent pour donner le bilan définitif de ce nouveau raid meurtrier. Selon des sources locales, c’est une position de l’armée qui a été attaquée à Intoussan, à une vingtaine de kilomètres au nord-ouest de Banibangou, dans la région de Tillabéri et pas très loin de la frontière malienne.
Les assaillants armés et présumés membres de l’EIGS, sont venus en nombre à bord de motos pour la plupart. Certaines sources qui les ont aperçues dans des villages de la zone qui ont été également ciblés, avancent le chiffre d’au moins 200 individus armés qui ont pris part à l’assaut. Les combats ont été intenses et les militaires nigériens ont été submergés. Du renfort a été par la suite envoyé sur place et comme c’est le cas lors des précédentes attaques, les assaillants se sont repliés en direction de la frontière malienne. Une vingtaine de soldats ont été tués et plusieurs autres ont été blessés suite à cette attaque qui a également causé la destruction et la perte d’importants matériels militaires.
Cette attaque intervient quelques jours après l’embuscade tendue contre une patrouille de la Garde nationale du Niger, le samedi dernier, dans la zone de Tillia, région de Tahoua, et toujours pas très loin de la frontière malienne. Seize (16) soldats dont un officier ont été tués.
La semaine dernière, anticipant un regroupement de combattants de l’EIGS en prélude à une attaque de grande envergure dans la zone de Banibangou, l’armée nigérienne a procédé à l’interpellation de 26 présumés terroristes. Le 30 avril dernier, 24 d’entres-eux ont été « mortellement blessés » suite à une tentative d’évasion massive au cours de leur transfert du camp militaire de Chinagoder à celui de Banibangou comme annoncé par le ministère de la Défense nationale.
La région de Tillabéri, dans le nord-ouest du Niger, dans la zone des trois frontières, est depuis 2017 en proie à une amplification des menaces sécuritaires. Malgré l’important dispositif militaire déployé, avec le renfort des forces partenaires, les attaques contre les positions des Forces de défense et de sécurité (FDS) ainsi que le massacre en masse des civils ou des assassinats ciblés de notables locaux ne cessent de se multiplier.
Ikali Dan Hadiza (actuniger.com)
Commentaires
Ces bandes de bandits armés viennent , attaquent , disparaissent en emportant comme TROPHÉE DE GUERRE, des matériels et logistiques de Défense....chaque fois et toutes les fois ......
YA KOI LA MÊME....
200 ASSAILLANTS, venus , semble t il a bord de motos , des engins à 2 roues interdits officiellement dans ces zones en état d'urgence , ....
Comment peuvent passer inaperçus sous les radars de la vigilance et renseignements quand il est dit qu'il y ait des " partenaires non fiables " qui assistent, certains dits partenaires complices en cahoote avec ces bandits armés qui adoptent la stratégie des guérilla,.....
Encore 20 autres porteurs qui perdent la vie ..'et que même le calculateur se perd dans le décompte macabre de l'hécatombe.....
Les forces française font un double jeu permettre au soldat d’avoir des entraînements poussés les ONG de tourner à fond.
Le Niger le Mali et la Mauritanie seront des réserves pour les multinationales française.
Le problème est réglé si avait permis à l’armée malienne de prendre Kidal même les touaregs du nord Mali sont dépassés les liens que les français on tisser avec les peuls des 3 frontaliers. Il suffit juste de regarder les motos c les mêmes marques qui leurs a vendu plus de 2000 motos dans des villages éloignés sa doit pas passer inaperçu à Niamey Bamako et Ouagadougou.
Moi je pense que soit les français font du business de motos ou leurs livres gratuitement par voie aérienne.
Ferme ta gueule
Commence à lui dire .....
le niger disposant de droit de poursuite au mali devrait suivre ces bandits pour venger ses hommes et recuperer ou detrure le materiel emporté.
ou sont les avions de combat et les 2 vieux helicopteres offert par france.
le niger doit s'equiper en au moins 2 avions de combat et 2 helicopteres de combats .sinon ca va continuer comme ca toujours et les bandits chaque fois se refugieront au mali.
o bien demandez l aide de la russie. la france est depass"e.
Depuis que t a ramassé la honte tu as disparu...Bazoum est président...as tu quitté le niger
racaille
on te dit boucle la ..tu ne comprend Mr.
ton job est fini....tu as un contrat d'intoxication via le net..pour propager les mensonges sur Issouf..tu as été recruté par l'opposition ..aujourdhui ils t'ont laissé tombé...vient je t'offre un job au ministere..pauvre con
Y-a-t-il une fierté, un point d'honneur à tirer lorsque l'on triche, l'on vole, l'on prend le raccourci pour crier victoire. Non monsieur, c'est toi la honte bue.
Tous les chemins ne sont pas bon à emprunter sinon, vous aurez vu des gangs partout sur votre chemin. Voler ce n'est pas digne de vous, digne du nigérien mais ce mal vous l'avez implanté et développé depuis dix ans dans ce pays. Si quelqu'un doit la fermer c'est bien toi voleur et adepte des voleurs.
Tu vas lui offrir un job au ministere? Voila le probleme du Niger.
A quel ministere? et pour quel job?