-Vu l’acte n°27 de la conférence nationale souveraine portant reconnaissance juridique de l’USN.

-Vu l’article n°34 de la constitution de la république du Niger reconnaissant et garantissant le droit syndical.

-Vu l’article n°14 de l’USN reconnaissant la qualité des sections extérieures.

-Vu la loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d’association de la république Française.

COMMUNIQUE DE PRESSE DU MINISTERE DE L'INTERIEUR 

Le Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique, de la Décentralisation et des Affaires Coutumières et Religieuses a le regret d’informer l’opinion qu’une bagarre entre agriculteurs et éleveurs est survenue ce jour 1er novembre2016 dans le village de Bangui (Département de Madaoua).

Le village de Bangui dans le département de Madaoua a vécut un terrible drame dans la matinée du mardi 1er novembre.

De violents affrontements ont opposé des agriculteurs et des éleveurs et  se sont soldés par plusieurs morts et beaucoup de dégâts matériels.

Selon des sources sur place, on comptabilise plus de 20 morts à la suite de ces douloureux évènements au cours desquels des maisons ont été incendiées et d’autres pillées.

Au Niger, une réunion d'urgence s'est tenue ce dimanche à Agadez pour parler sécurité. Elle a rassemblé le ministre et conseiller de la présidence pour le Nord, Rhissa Ag Boula, ainsi que des notables de la ville au lendemain de l'attaque survenue pendant le week-end contre un ancien chef militaire de la rébellion touareg.

L’ancien ministre de l’Intérieur et des Transports Mohamed Moussa,  candidat du Niger à la direction de l’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA), est bien parti pour succéder au malien Amadou Ousmane Guiteye à la tête de l’institution.

Des patrouilles mixtes, composées de tous les corps de défense et de sécurité, sillonnent actuellement la ville d'Agadez. Elles mènent des fouilles tous azimuts dans la ville et même dans certaines maisons suspectes.

Les échauffourées entre les étudiants de l’Université de Zinder et les fores de l’ordre ont encore repris ce mardi dans plusieurs endroits de la ville. Moins d’une semaine après la manifestation qui a dégénéré, les étudiants ont encore entrepris de ressortir pour revendiquer l’amélioration de leurs conditions de vie et d’étude.

Le bras de fer que se livrent la direction de la CNPC NP et les travailleurs nigériens de la société vient de prendre une nouvelle ampleur qui se traduira les prochains jours par des débrayages à l’appel du syndicat des employés nigériens affiliés au SYNATRAP.