L’agent secret qui a libéré les otages français au Niger réclame son salaire à Areva et Vinci
Sans arme, il a rencontré à sept reprises l’un des terroristes les plus recherchés au monde. Et a même été blessé. Et pourtant, Jean-Marc Gadoullet attend toujours d’être payé pour avoir mené les négociations qui ont permis la libération des cinq otages français, salariés d’Areva et Vinci, enlevés par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) au Niger en 2010.
Commentaires