Communiqué conjoint du collectif des Syndicats des agents de transit du Niger (SYNAT), du Syndicat des commerçants importateurs exportateurs et grossistes du Niger (SCIEGN) et la Chambre de commerce et d'industrie du Niger (CCIN).
Suite au mot d'ordre de cessation d'activités de 72 heures observée par ledit collectif relatif à la mise en application de la circulaire N°0030/DGD/DRCD du 28 juin 2022 portant perception de la redevance du Guichet Unique des formalités du Commerce Extérieur, la Chambre de Commerce et d'Industrie du Niger (CCIN) fidèle à son rôle d'interface entre les pouvoirs publics et les organisations patronales et syndicales du secteur privé, à tout d'abord échangé avec le collectif sur ses principaux points de revendications et a entrepris une démarche auprès du Ministre des Finances pour une solution idoine.
Il ressort de la rencontre entre le Ministre des Finances et le Président de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Niger en présence du Directeur Général de WEB FONTAINE Niger, du Directeur Général des Douanes, la prise en compte de toutes les préoccupations exprimées par le collectif dans le cadre d'une saine application de la circulaire susmentionnée.
C'est pourquoi, le collectif et la Chambre de Commerce et d'Industrie du Niger réunit ce vendredi 22 juillet 2022 se félicite de l'aboutissement heureux de la démarche engagée par la Chambre de Commerce et d'Industrie du Niger et remercient vivement les deux parties à savoir le Ministre des Finances pour sa disponibilité et le collectif pour son esprit d'ouverture.
En conséquence, le collectif lève son mot d'ordre de cessation d'activités et reste ouvert au dialogue.
Comme la nature exige que tout espace soit rempli de quelque chose, TOTO A DIT remplit cette fenêtre vide
Quand TOTO A DIT dit oooo que les crimes économiques n'ont pas de PRESCRIPTION....de limite.... À tous ces voleurs de deniers publics qui continuent à craner a faire le malin, continuer jusqu'à .... Jusqu'à que : KACHAAAP!!!!!
Ne dit on pas que tu peux courir , courir , mais tu ne peux te cacher .. wiwi you can run but you hide oooooo , ton derriere reste visible et quand TOTO A DIT partage, pourquoi vas tu à la ligne ...
Du dossier des équipement militaires , des mandats d'arrêt lancés contre 3 anciens ministres d'IBK..
En cours depuis des années, le dossier concernant l’achat des équipements militaires est loin d’être clos. Des anciens dignitaires du défunt régime de l’ex-Président du Mali Ibrahim Boubacar Keïta sont dans le viseur de la justice.
Au total, trois (3) anciens ministres de l’ex-Président IBK restent désormais dans le viseur de la justice malienne. Il s’agit de l’ex-ministre Tiéman Huber Coulibaly, président du parti UDD ; Boubou Cissé, ex-Premier ministre et ministre de l’Economie et des Finances du défunt Président, Ibrahim Boubacar Keïta. Le troisième et dernier ministre ciblé dans l’affaire est Mamadou Igor Diarra, lui aussi ancien ministre de l’Economie et des Finances sous IBK.
Ils sont tous suspectés dans l’affaire dite achat des équipements militaires.
Suite et fin Les mandats d’arrêt internationaux ont été lancés contre les trois (3) personnalités. L’information nous a été confirmée, hier mardi 26 juillet, par un responsable du ministère de la Justice et des Droits de l’Homme.
« Oui, la justice a lancé un mandat d’arrêt international contre eux dans l’affaire d’achat des équipements militaires », nous a-t-il confié. Dans cette même affaire, notons que la Cour suprême du Mali s’était exprimée. Elle avait condamné l’Etat malien à payer plus de 25 milliards de nos francs à la société Guo-Star. En plus de la somme faramineuse, l’Etat doit au nommé Amadou Baïba Kouma, représentant de la société Guo-Star, une somme de 600 millions de francs à titre de « dommages intérêts », .
En 2014, cette société avait livré du matériel militaire au gouvernement malien qui en avait besoin, avant que la surfacturation ne vienne gâcher l’affaire.
n'est ce pas mieux que la page blanche Qu'en est il du cas des voleurs de détournements des fonds de défense au Niger ?
Suite et fin Les mandats d’arrêt internationaux ont été lancés contre les trois (3) personnalités. L’information nous a été confirmée, hier mardi 26 juillet, par un responsable du ministère de la Justice et des Droits de l’Homme.
« Oui, la justice a lancé un mandat d’arrêt international contre eux dans l’affaire d’achat des équipements militaires », nous a-t-il confié. Dans cette même affaire, notons que la Cour suprême du Mali s’était exprimée. Elle avait condamné l’Etat malien à payer plus de 25 milliards de nos francs à la société Guo-Star. En plus de la somme faramineuse, l’Etat doit au nommé Amadou Baïba Kouma, représentant de la société Guo-Star, une somme de 600 millions de francs à titre de « dommages intérêts », .
En 2014, cette société avait livré du matériel militaire au gouvernement malien qui en avait besoin, avant que la surfacturation ne vienne gâcher l’affaire.
n'est ce pas mieux que la page blanche Qu'en est il du cas des voleurs de détournements des fonds de défense au Niger ?
Commentaires
Quand TOTO A DIT dit oooo que les crimes économiques n'ont pas de PRESCRIPTION....de limite.... À tous ces voleurs de deniers publics qui continuent à craner a faire le malin, continuer jusqu'à .... Jusqu'à que : KACHAAAP!!!!!
Ne dit on pas que tu peux courir , courir , mais tu ne peux te cacher .. wiwi you can run but you hide oooooo , ton derriere reste visible et quand TOTO A DIT partage, pourquoi vas tu à la ligne ...
Du dossier des équipement militaires , des mandats d'arrêt lancés contre 3 anciens ministres d'IBK..
En cours depuis des années, le dossier concernant l’achat des équipements militaires est loin d’être clos. Des anciens dignitaires du défunt régime de l’ex-Président du Mali Ibrahim Boubacar Keïta sont dans le viseur de la justice.
Au total, trois (3) anciens ministres de l’ex-Président IBK restent désormais dans le viseur de la justice malienne. Il s’agit de l’ex-ministre Tiéman Huber Coulibaly, président du parti UDD ; Boubou Cissé, ex-Premier ministre et ministre de l’Economie et des Finances du défunt Président, Ibrahim Boubacar Keïta. Le troisième et dernier ministre ciblé dans l’affaire est Mamadou Igor Diarra, lui aussi ancien ministre de l’Economie et des Finances sous IBK.
Ils sont tous suspectés dans l’affaire dite achat des équipements militaires.
Les mandats d’arrêt internationaux ont été lancés contre les trois (3) personnalités. L’information nous a été confirmée, hier mardi 26 juillet, par un responsable du ministère de la Justice et des Droits de l’Homme.
« Oui, la justice a lancé un mandat d’arrêt international contre eux dans l’affaire d’achat des équipements militaires », nous a-t-il confié. Dans cette même affaire, notons que la Cour suprême du Mali s’était exprimée. Elle avait condamné l’Etat malien à payer plus de 25 milliards de nos francs à la société Guo-Star. En plus de la somme faramineuse, l’Etat doit au nommé Amadou Baïba Kouma, représentant de la société Guo-Star, une somme de 600 millions de francs à titre de « dommages intérêts », .
En 2014, cette société avait livré du matériel militaire au gouvernement malien qui en avait besoin, avant que la surfacturation ne vienne gâcher l’affaire.
Qu'en est il du cas des voleurs de détournements des fonds de défense au Niger ?
Qui a été inquiété ?
Les mandats d’arrêt internationaux ont été lancés contre les trois (3) personnalités. L’information nous a été confirmée, hier mardi 26 juillet, par un responsable du ministère de la Justice et des Droits de l’Homme.
« Oui, la justice a lancé un mandat d’arrêt international contre eux dans l’affaire d’achat des équipements militaires », nous a-t-il confié. Dans cette même affaire, notons que la Cour suprême du Mali s’était exprimée. Elle avait condamné l’Etat malien à payer plus de 25 milliards de nos francs à la société Guo-Star. En plus de la somme faramineuse, l’Etat doit au nommé Amadou Baïba Kouma, représentant de la société Guo-Star, une somme de 600 millions de francs à titre de « dommages intérêts », .
En 2014, cette société avait livré du matériel militaire au gouvernement malien qui en avait besoin, avant que la surfacturation ne vienne gâcher l’affaire.
Qu'en est il du cas des voleurs de détournements des fonds de défense au Niger ?
Qui a été inquiété ?