Criminalité financière: Niamey au cœur d'un vaste réseau de trafic de faux billet
L’antenne départementale de Gaya de l'Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) a saisi dix-neuf (19) millions de franc CFA en faux billets au cours d’un coup de filet réalisé le jeudi dernier et qui a permis l'interpellation de deux individus de nationalité nigérienne dont un employé d'une banque de la place chez qui il a été également saisi un chèque de dix (10) milliards de francs CFA. Il y a quelques semaines, une autre saisie de cinq (05) millions de faux billets a été opérée toujours par l'OCRTIS de Gaya avec le même mode opératoire et selon le même itinéraire que la dernière.
Dans un point de presse animé hier vendredi, la Commissaire de police Nana Aichatou Ousmane Bako, du service de l'information et des relations publiques de l'OCRTIS a expliqué que tout est parti d'une information reçue le jeudi 17 mars dernier par l'antenne de Gaya sur un colis suspect en provenance du Benin et à destination de Niamey dans un bus d'une compagnie de transport voyageurs. A l'arrivée du bus, a indiqué la Commissaire, la fouille du colis a permis de découvrir 1.900 faux billets de banque en coupure de 10.000, soit 19.000.000 de francs CFA.
« La suite des investigations menées à Niamey par l'OCRTIS a permis d'interpeller deux individus de nationalité nigérienne dont un employé d'une banque de la place et un agent d'une société publique d'expédition. La fouille à corps effectuée sur l'employé de banque a permis de découvrir un chèque de dix milliards de francs CFA », a poursuivi la même source.
Selon l'officier de police, «cette saisie s'ajoute à celle de cinq millions de faux billets de banque en coupure de cinq mille francs CFA opérée il y'a quelques semaines par les agents de cette unité suivant le même itinéraire et le même mode opératoire ».
Lors de la cérémonie de la présentation à la presse des deux (02) individus interpellés ainsi que les sommes et objets saisies, la Commissaire Nana Aichatou Ousmane Bako n'a pas manqué de souligner que « cette forme de criminalité qui se développe constitue une menace grave à l'économie nationale ». C'est pourquoi, elle a, une fois de plus, lancé un appel à la population à "davantage de vigilance et de collaboration avec les forces de défense et de sécurité ».
Commentaires
Si vous voulez une bonne assistance du public, il faut mettre les photos des criminels, en les connaissant, le gens pourront facilement donner des informations sur des éventuels complices.
Merci
Seulement au Niger , premier pays du monde en commençant par la queue....
Honey how are u feeling today
going to niamey soon...looking for freind
serious inquiry only
please...kisss
CASSE TOI D'ICI ...JE SUIS LA
Adepte de la secte rose des voleurs, des pilleurs, des trafiquants de drogue, de devises, de faux billets, des tricheurs, des fraudeurs, des faussaires y compris de certificats de nationalité c'est toi qui doit te barrer si tu connais la honte. Adepte écervelé de faux intellos qui ont conduit ce pays au dernier rang de la planète au plan du développement humain et durant toute une décennie sans discontinuité tu as vraiment pété les plombs. Voilà que ce pays est entrain d'être transformé en une plaque tournante où tout est permis. La mafia dans tous ses états. Voilà le bilan de Charlie ton guru devenu aujourd'hui lamentable et pathétique. Bazoum président "kama mini"est mal parti. Depuis qu'il a volé les suffrages du peuple que scandales et de scènes chaotiques.
Bon à rien et déchet inutile de la société, Zemmour arrêtes de nous déverser tes torchons.
Jamais, le Niger n'a connu une gouvernance de gangs de la mafia sicilienne si ce n'est avec la secte rose truffée des plus grands bandits d'Etat.
Quel plaisir tires-tu adeptes de bandits et de Charlie le guru de la secte quand le Niger vit les pires moments de son histoire.
Tu es qui toi?
La criminalité financière constitue un frein au développement économique de notre Pays.
Tous les criminels financiers doivent être traduit en justice et subir une punition conforme à leurs actes.