Sidebar

Airtel Kassoua Garbal

NITA Fond Site Web 675 x 240

Justice marteau

Une dizaine de militaires accusés d’être impliqués dans le coup d’Etat présumé de décembre 2015 au Niger seront jugés le 23 janvier par un tribunal militaire, a appris lundi l’AFP.

Zeyna commission0

"Le procès (du putsch) a été repoussé au 23 janvier à la demande des avocats des prévenus", a indiqué à l’AFP une source proche du dossier.

La première session du tribunal militaire pour l’année 2018 s’est ouverte lundi dans un camp de la gendarmerie à Niamey.Au cours de cette session trente-deux dossiers, dont celui des militaires présumés putschistes seront jugés.Ceux-ci étaient présents lors de la cérémonie d’ouverture de la session.

Le 17 décembre 2015, le président du Niger, Mahamadou Issoufou, qui briguait un second mandat, avait affirmé qu’une tentative de coup d’Etat avait été déjouée, justifiant l’arrestation de douze militaires, de trois douaniers et d’une dizaine de civils.

Parmi les militaires concernés par le procès figure le général Souleymane Salou, ancien chef d’état-major, le colonel Idi Abdou Dan Haoua, commandant de la base aérienne de Niamey, et le commandant Naré Maidoka, chef du 1er bataillon d’artillerie de Tillabéri, une ville située à une centaine de kilomètres à l’ouest du pays et proche de la frontière avec le Mali. 

Issoufou Oumarou, le commandant d’une force spéciale de lutte antiterroriste logée à la présidence, et le capitaine Amadou Chékaraou, autre responsable d’une unité d’élite antiterroriste basée au nord de la capitale, avaient aussi été écroués.

Fin mars 2017, une dizaine de civils, dont des opposants, avaient été libérés après avoir bénéficié d’un "non-lieu partiel" du juge en charge du dossier, selon leur avocat. 

Selon les autorités nigériennes, les putschistes présumés étaient "suivis depuis près d’un mois" et le coup de force a été "conjuré grâce à la loyauté" de certains militaires "qui rendaient régulièrement compte de la progression du projet".

"Nous avons suffisamment de preuves", notamment des "échanges de SMS et de correspondances entre eux", avait soutenu le ministre de l’Intérieur de l’époque Hassoumi Massoudou.

L’opposition, et notamment le candidat à la présidentielle Amadou Boubacar Cissé, avait émis "les plus grandes réserves" sur l’ensemble de l’affaire et avait réclamé "du président Issoufou des preuves" du coup d’Etat déjoué.

Zeyna commission0

Avec AFP

Zeyna commission0



Ajouter un Commentaire

Enregistrer
CANAL + BAN2

Zeyna commission0

 

android_actuniger2.jpg

Télécharger l'application depuis notre serveur ICI
Image
Image
Image
Image

LOWEBTV.png

 
DEPART DU DERNIER VOL DE LA FORCE FRANÇAISE CE 22-12-2023
1422 vues
 
Conférence de presse des députés et sénateurs de la CEDEAO
505 vues
 
AUDIENCE DU GOUVERNEUR DE LA BCEAO JEAN CLAUDE KASSI BROU
288 vues
 
Communiqué conjoint de la visite officielle au Burkina Faso de Son Excellence le Général de Brigade Abdourahamane Tiani, chef de l’État du Niger.
436 vues
 
Déclaration du Chef de l'État, le Général de Brigade Abdourahamane Tiani, à la suite de sa visite officielle au Burkina Faso.
329 vues
 
Prestation de serment des membres de la COLDEF et de la Cour d’état
330 vues
 
Le ministre en charge de l'emploi rencontre des bénéficiaires du PEJIP
2265 vues
 

logo-white.png

Site web d'informations générales sur l’actualité politique, économique, culturelle, sportive au Niger et dans le monde.

Tél: (+227) 89 99 99 28  / 92 55 54 12

Copyright © 2022, ActuNiger. Tous droits réservés. Designed by KM Media Group

0
Partages