La loi portant changement de nom de la monnaie des pays de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), suppression du mécanisme de compte d’opération et la transformation du rôle de la France en garant financier a été adoptée, ce jeudi 08 décembre 2022, à l’assemblée nationale du Niger. Le projet de loi a été voté par les parlementaires à 99 voix pour, 17 contre et 0 abstention.
Le texte soumis à l’examen du parlement, précise t-on, a pour objet de satisfaire l’exigence de la loi du 11 juillet 2022, habilitant le gouvernement à prendre des ordonnances pendant l’intersession parlementaire.
Cet accord de coopération entre dans la catégorie des instruments juridiques dont la ratification est soumise à l’adoption préalable d’une loi d’autorisation, conformément à la constitution du 25 novembre 2010.
L’objectif principal de cet accord est d’adapter la coopération monétaire entre les Etats membres de l’Union Monétaire Ouest Africaine et la République Française notamment en prenant note de leur décision de changer le nom de la monnaie des Etats membres de l’Union et en convenant de supprimer le mécanisme de compte d’opération et de transformer le rôle de la République française en celui d’un garant financier.
Histoire du Franc CFA
Le franc CFA, officiellement Franc de la Communauté financière Africaine, est le nom porté par deux monnaies communes africaines (franc de la communauté financière en Afrique et franc de la coopération financière en Afrique centrale), héritées de la colonisation française et utilisées par quatorze pays d'Afrique constituant en partie la zone franc.
Le franc de la communauté financière en Afrique est émis par la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest pour les huit États membres de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) : Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo.
L'abréviation CFA a signifié, de 1945 à 1958, « Colonies françaises d'Afrique ». Le nom change de 1958 à 1960 pour devenir « Communauté française d'Afrique ». Actuellement, l'abréviation signifie « Communauté financière africaine ». Cette dernière, largement employée dans l'UEMOA, diffère dans la CEMAC : dans cette partie, le sigle CFA signifie « Coopération financière en Afrique ».
Cette réforme est un faux changement dont le but est d’empêcher une vraie rupture monétaire avec la France en court-circuitant les initiatives africaines et en imposant une solution imaginée et imposée par la France. La France garde toujours le contrôle total de notre monnaie et de nos économies.
Nous ne voulons donc pas d'une "réforme" du franc CFA. Nous voulons LA FIN DU FRANC CFA/ECO, c'est-à-dire LA FIN DE TOUT ACCORD DE COOPÉRATION MONÉTAIRE AVEC LA FRANCE.
NOUS VOULONS CRÉER ET GÉRER LIBREMENT NOTRE PROPRE MONNAIE, TOTALEMENT INDÉPENDANTE DE TOUT LIEN AVEC LA FRANCE.
Nous n'aurons aucun répit tant que le dernier soldat français n'aura pas quitté la terre sacrée d'Afrique, tant que nous n'aurons pas TOTALEMENT banni le franc CFA/ECO et mis fin à tout accord de coopération monétaire (de quelque nature qu'elle soit) avec la France, remplacé le français qui nous a été imposé comme unique langue d'enseignement dans nos écoles par nos langues maternelles, déchiré les "accords de coopération économique" et autres contrats léonins imposés par la France, récupéré le contrôle total de toutes nos richesses minières spoliées par la France, acquis le droit de diversifier nos partenaires internationaux sans aucun statut préférentiel donné à la France, instauré notre indépendance politique à l'ONU et bâti l’État Fédéral d'Afrique.
Quand il s'agit de la France, le parlement corrompu du Niger ne vote qu'en faveur de la France contre le Niger. La question est de savoir combien ces rats ont recu chacun pour voter pour?
Quand le Zimbabwe prépare déjà le lancement de son deuxième satellite, pendant ce même temps d'aucuns francocons ne savent même pas concevoir une usine de daba ou de chaussure pour les cultivateurs, en dehors de leur untel a dit kilométrique à la conne , a vous donner le vertige ...avec leurs dépités APPLAUDIMAITRES..
Et es tu tenu d'aller à la ligne lorsque TOTO A DIT partage?
En novembre dernier, le Zimbabwe a lancé son premier satellite dans l’espace. Alors que ce premier engin spatial servira notamment à l’observation, le pays veut se doter d’un satellite télécoms dans un contexte marqué par la demande croissante en connectivité à haut débit.
La Zimbabwe National Geospatial and Space Agency (ZINGSA) a commencé les travaux techniques préliminaires pour le développement du deuxième satellite du pays dénommé ZimSat-2, rapportent les médias locaux. Le projet a obtenu l’approbation du président Emmerson Mnangagwa et 300 millions de dollars ont été prévus à cet effet dans le budget 2023.
« Nous avons reçu des orientations politiques du président Mnangagwa et nous sommes déjà au travail. Plus de détails seront partagés bientôt, une fois que le travail hautement technique, qui vient en premier, sera terminé », a déclaré Amon Murwira, ministre de l’Enseignement supérieur et tertiaire, de l’Innovation, du Développement des sciences et des technologies.
Suite et fin Le début des travaux de développement du satellite ZimSat-2 intervient quelques jours après la mise en orbite de ZimSat-1, le premier satellite zimbabwéen. Ces deux projets s’inscrivent dans le cadre du programme spatial du Zimbabwe qui a été lancé en 2018 avec le lancement de la ZINGSA.
Ces dernières années, on assiste à une croissance rapide de l’industrie spatiale africaine. Selon l’édition 2022 du rapport annuel de l’industrie spatiale africaine réalisé par Space In Africa, la valeur de l’industrie spatiale africaine devrait atteindre 22,64 milliards USD en 2026 alors qu’elle était évaluée à 19,49 milliards USD en 2021. Le même rapport indique que les nations africaines ont alloué un total de 534,9 millions USD aux programmes spatiaux en 2022 contre 523,2 millions de dollars en 2021.
ZimSat-2 devrait notamment permettre d’améliorer la qualité et la couverture des services télécoms au Zimbabwe. Il devrait également contribuer au développement de nombreux secteurs de l’économie comme l’administration publique, la santé, l’agriculture dans un contexte marqué par l’accélération de la transformation numérique.
Et à TOTO A DIT de dire même en rêve l'on ne peut demander au Niger de songer en lancer un satellite à quand au moins la fabrication et mise en conserve de criquets ou d'oignons ou kilichi emballé genre JERKY se vendant ailleurs ?
Et l'argent dormant sur les comptes comptes courants? Celui du niger s'eleve a plus de 30 milliard de $ "deposes" a la banque de france en devises depuis diori hamani. Faut reclamer au lieu de tergiverser avec des jonglages de nom. Demandez des comptes a Issoufou il connait TRES BIEN le dossier. (googlez etude suisse areva niger
Tout ça ce n'est rien et il ne change rien aussi nous on a besoin que la France quitte l'Afrique même comme soit disant nous sommes indépendant on peut créer nos propres Argent , pourquoi la France veut intervenir toujours dans le continent africain c'est a dire c'est nous qui les nourries , mais j'ai constaté que tout les problèmes viennent chez nos dirigeants c'est eux qui sont derrière la France et ce pour les français jouent avec l'Afrique comme ils veulent mais aura le changement un jour , la jeunesse on compris que jusqu'à la l'Afrique n'est pas indépendant rien que virtuelle, raison pour laquelle on commencé à récolté contre la France
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Nous ne voulons donc pas d'une "réforme" du franc CFA. Nous voulons LA FIN DU FRANC CFA/ECO, c'est-à-dire LA FIN DE TOUT ACCORD DE COOPÉRATION MONÉTAIRE AVEC LA FRANCE.
NOUS VOULONS CRÉER ET GÉRER LIBREMENT NOTRE PROPRE MONNAIE, TOTALEMENT INDÉPENDANTE DE TOUT LIEN AVEC LA FRANCE.
Nous n'aurons aucun répit tant que le dernier soldat français n'aura pas quitté la terre sacrée d'Afrique, tant que nous n'aurons pas TOTALEMENT banni le franc CFA/ECO et mis fin à tout accord de coopération monétaire (de quelque nature qu'elle soit) avec la France, remplacé le français qui nous a été imposé comme unique langue d'enseignement dans nos écoles par nos langues maternelles, déchiré les "accords de coopération économique" et autres contrats léonins imposés par la France, récupéré le contrôle total de toutes nos richesses minières spoliées par la France, acquis le droit de diversifier nos partenaires internationaux sans aucun statut préférentiel donné à la France, instauré notre indépendance politique à l'ONU et bâti l’État Fédéral d'Afrique.
Et es tu tenu d'aller à la ligne lorsque TOTO A DIT partage?
En novembre dernier, le Zimbabwe a lancé son premier satellite dans l’espace. Alors que ce premier engin spatial servira notamment à l’observation, le pays veut se doter d’un satellite télécoms dans un contexte marqué par la demande croissante en connectivité à haut débit.
La Zimbabwe National Geospatial and Space Agency (ZINGSA) a commencé les travaux techniques préliminaires pour le développement du deuxième satellite du pays dénommé ZimSat-2, rapportent les médias locaux. Le projet a obtenu l’approbation du président Emmerson Mnangagwa et 300 millions de dollars ont été prévus à cet effet dans le budget 2023.
« Nous avons reçu des orientations politiques du président Mnangagwa et nous sommes déjà au travail. Plus de détails seront partagés bientôt, une fois que le travail hautement technique, qui vient en premier, sera terminé », a déclaré Amon Murwira, ministre de l’Enseignement supérieur et tertiaire, de l’Innovation, du Développement des sciences et des technologies.
A suivre..
Le début des travaux de développement du satellite ZimSat-2 intervient quelques jours après la mise en orbite de ZimSat-1, le premier satellite zimbabwéen. Ces deux projets s’inscrivent dans le cadre du programme spatial du Zimbabwe qui a été lancé en 2018 avec le lancement de la ZINGSA.
Ces dernières années, on assiste à une croissance rapide de l’industrie spatiale africaine. Selon l’édition 2022 du rapport annuel de l’industrie spatiale africaine réalisé par Space In Africa, la valeur de l’industrie spatiale africaine devrait atteindre 22,64 milliards USD en 2026 alors qu’elle était évaluée à 19,49 milliards USD en 2021. Le même rapport indique que les nations africaines ont alloué un total de 534,9 millions USD aux programmes spatiaux en 2022 contre 523,2 millions de dollars en 2021.
ZimSat-2 devrait notamment permettre d’améliorer la qualité et la couverture des services télécoms au Zimbabwe. Il devrait également contribuer au développement de nombreux secteurs de l’économie comme l’administration publique, la santé, l’agriculture dans un contexte marqué par l’accélération de la transformation numérique.
Et à TOTO A DIT de dire même en rêve l'on ne peut demander au Niger de songer en lancer un satellite à quand au moins la fabrication et mise en conserve de criquets ou d'oignons ou kilichi emballé genre JERKY se vendant ailleurs ?
Ou bien l'on prie et jeûne ?