Issoufou Mahamadou, acte II

Cinq mois après sa réélection, le président semble avoir les coudées franches pour engager la deuxième partie de son programme de « renaissance ». Mais entre les dépenses sécuritaires auxquelles l’État est contraint pour lutter contre les jihadistes et la chute des cours des matières premières, en aura-t-il les moyens ?












Commentaires
un état critique qu’il serait vain d‘ignorer. De lors, l'on peut comprendre en partie l’échec de tous vos programmes.