Mali : grande mobilisation populaire contre les sanctions de la Cédéao
La population malienne a massivement répondu à l’appel des autorités de transition pour une mobilisation nationale contre les sanctions des chefs d’Etat de la Cédéao et de l’UEMOA. Ce vendredi 14 janvier 2021, des dizaines de milliers de manifestants ont pris part aux meetings organisés à Bamako et dans les principales villes du pays pour aussi soutenir les autorités de transition. Parallèlement, le Président de la transition, le colonel Assimi Goita, a validé ce vendredi, le Plan de riposte nationale aux sanctions adopté par le gouvernement.
« Le peuple malien debout comme un seul homme pour dénoncer les sanctions excessives de la CEDEAO et de l’UEMOA !» : c’est l’appréciation faite par les autorités de la transition malienne de la grande mobilisation populaire de ce vendredi 13 janvier 2021. A Bamako comme dans les autres grandes villes du pays, notamment, Gao, Tombouctou, Koutiala, Ségou, Ménaka, Bougouni, Sikasso, Kayes, Mopti,… les populations ont massivement répondu à l’appel à la mobilisation lancé par le gouvernement, au lendemain de l’adoption, le dimanche dernier à Accra, des sanctions supplémentaires par les chefs d’Etat de l’organisation régionale.
Dans tout le pays, l’essentiel des organisations politiques et autres associations ont pris part aux manifestations.
A Bamako, c’est une véritable marée humaine qui a pris d’assaut la mythique Place de l’indépendance située en plein centre ville. « Vive le Mali souverain », « Le peuple malien uni et fier », « Vive les autorités de la transition », « Soutien à Assimi Goita », « Non à la Cédéao et à l’ingérence de la France », sont entre autres les slogans que scandaient les manifestants ainsi que les inscriptions sur des pancartes et des banderoles.
Le Premier ministre Choguel Maiga, accompagné pour la circonstance de plusieurs membres du gouvernement, s’est rendu sur place où il a prononcé un discours et livré un message de remerciement du chef de l’Etat dans lequel il a rappelé que le Mali ne se pliera pas à aucune exigence extérieure qui va contre la volonté populaire et les intérêts du pays tout en réitérant la disposition des autorités de transition au dialogue avec les organisations régionales et internationales. Le premier ministre malien a aussi assuré les maliens que le gouvernement est en train de prendre toutes les dispositions pour atténuer les conséquences des sanctions économiques prises par les dirigeants de la Cédéao. « Nous n’avons peur que de deux choses : Dieu et le peuple malien ! » a scandé le Premier ministre Maiga sous les vives acclamations des manifestants.
Plusieurs autres personnalités et figures politiques du pays ont également pris la parole au cours de cette manifestation qui a été très suivie sur le continent. « Démonstration monstre du peuple malien » ; « le Mali reprend sa souveraineté » ; « Les maliens sont sortis massivement dans les rues pour affirmer leur souveraineté, soutenir la transition et dénoncer les sanctions de la CEDEAO », « Le message est clair : de Sikasso à Meneka en passant par Segou et Kayes, le peuple souverain du Mali est sorti soutenir les autorités de transition et dire non à la Cédéao et à la France » : tels sont quelques commentaires qu’on peut lire sur les réseaux sociaux où les images des manifestations ont été largement relayées.
Plan de riposte
Ce vendredi 13 janvier dans la matinée, le Président de la transition le colonel Assimi Goita a présidé un Conseil supérieur extraordinaire de la défense nationale qui avait pour principal objectif, de valider le Plan de riposte du gouvernement aux sanctions de la CEDEAO et de l’UEMOA tout en restant ouvert au dialogue. « Il s’agit d’un Plan qui a été annoncé immédiatement après les sanctions inhumaines et illégales prises par la CEDEAO et l’UEMOA contre notre pays, le 9 janvier 2022 », a précisé le ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, Porte-parole du gouvernement, le Colonel Abdoulaye Maïga.
Le ministre porte-parole du gouvernement a précisé qu’il s’agit d’un Plan exhaustif qui « essaie de prendre en compte les priorités et les préoccupations de nos populations en termes d’approvisionnement en produits de première nécessité ». Aussi, a-t-il ajouté, c’est «un Plan transversal qui comporte plusieurs composantes : des questions diplomatiques, géopolitiques, économiques et financières ainsi que des questions sociales ».
Ikali Dan Hadiza (actuniger.com)
Commentaires
La CDEAO, L'UMEOA et les Nations Unies ne devraient pas être aveugler par les 2 dizaines de militaires maliens qui canalisent plus de 20 millions de maliens qui aspirent à leur liberté totale, à leur l'indépendance intégrale, à l'indépendance malienne tout court.
Les temps ont changés, les temps changent, les temps changeront.
Le Mali tourne une nouvelle page de l'histoire Africaine. Cela a un prix, et le DIGNE peuple du Mali est prêt à le payer.
Nous nous devons, nous Africains à la base de soutenir le peuple malien contrairement à nos chefs d'états, vassaux de l'impérialisme international.
Vive le Mali qui se libère, et qui libère l'Afrique.
Cet état de soumission est garanti par quatre principaux piliers que sont le Sénégal, le Liberia, la Sierra Leone et la Côte d’Ivoire.
Léopold Sédar Senghor, Houphouët Boigny ont signé avec Charles de Gaulle des accords de développement en contre parti soutenir la France sur le continent.
Il faut d’abord bien comprendre ce qu’il se passe derrière ces manifestations payées par la junte. C’est plutôt au Mali que les gens sont arrosés à coup de l’ar Public pour manifester, insulter et tabaster des présidents. Honte à eux !
Honte plutot a toi, le premature avorton. C'est a cause des bons a rien comme toi que rien n'est plus possible dans ce pays ou une clique malhonnête et malfaisante fait la pluie et le bon temps quand des millions d'autres croupissent dans une misere abjecte.
Renseignes toi avant de montrer ta profonde ignorance et limites en insultant. Tu fais pas mieux que ces moutons maliens qui soutiennent une junte avide de pouvoir, qui ne respecte rien comme parole donnée. Je le répète c’est une manifestation payée à coup de millions sur fonds du contribuable. Rien avoir avec une prétendue révolution. J’’ai des amis dans ce pays.
Le Mali se battra pour son indépendance malgré l’opposition de la France et de la CDEAO.
Assumes bien ta nationalité malienne !
Si vous êtes capable d'organiser des assises nationales sur presque tout votre pays comme vous le dites et de manifester pour soutenir une junte qui veut s'accrocher au pouvoir pour 6 ans et 6 mois , pourquoi ne pas organiser ces élections dans les mêmes conditions.
Du n'importe quoi ! Vous rusez avec vos partenaires qui vous ont bien compris.
Il faut aussi arroser les nigériens à coups des milliards pour une marche de soutien au régime actuel pour comparer et comprendre que le peuple malien est derrière le colonel. Même dans le rêve ton président ne va pas rassembler autant des personnes. Le Niger a trop souffert pour continuer à soutenir ces indélicats.
merci a tous les choffeur .
merci'assimi .
merci chiguel.
merci adama .
merci dicko .
merci actuniger .
merc le mali.
merci les maliens .
vous etes les meilleurs.
je trouve que pour les importateur , un tracteur agricol peut etre transferer sans taxe dans certaine zone .
qu'en est il au mali .
bien sur je suis le premier interesser car j'exploite 8000 hectares en zone office du niger .
j'ai beaucoup de mal avec la qualiter chinoise
Notre priorité n’est pas les élections, c’est de reconquérir notre territoire d'abords, chasser les terroristes et leurs maîtres les Français, et ensuite les elections. A quoi servent ces élections truqués qui se passent en Afrique alors que notre souveraineté est menacé. Vous voulez les élections pour mettre à la tête du Mali votre larbin.
Les alpha, att et ibk sont donc élus par les autres : français et cedeao
Toujours le même discours c'est la faute aux autres. Discours haineux etc....
A bon entendeur salut.
Ce type avec le pseudo " nigérien " est un malien qui vient "insulter " ou emmerder les nigériens avec leur histoires de peuples dignes etc.....alors que nous savons tous que l'argent et des sacs de riz ont circulé pour pousser les gens dans les rues. Rien à voir avec une vraie révolution comme les grosses gueules hurlent partout sur les réseaux sociaux pour nous baratiner. Ça marche pas comme ça. Assumez vos fautes dans la situation de votre pays, point barre. Arrêtez de pleurnicher. Vous êtes prêts à mettre les gens dans la rue pour qq sacs de riz, mais incapables de défendre un seul village. C'est désespérant.
Et quand les quelques compagnies aériennes de la C'EST DAOH deviennent les dindons de la farce pour leur manque à gagner... La France leur fait des pieds au nez.
.Quand cette hypocrite et merdique France redécide de ravaler sa vomissure et quand TOTO A DIT partage , aller à la ligne n'est pas forcé Ooooo...
Selon un document signé de l’Agence nationale de l’aviation civile du Mali, Air France a renégocié la reprise de ses vols sur Bamako, avec l’accord des autorités maliennes. L’authenticité du document datée du 13 janvier 2022 n’a pas fait l’objet de démenti.
La compagnie française Air-France a jugé bon de renégocier ses heures de vol entre la capitale française et la capitale malienne.
Pour contourner les sanctions de la CEDEAO, Air-France opèrera désormais des vols directs en aller-retour entre la capitale française et Bamako.
Les vols avec escale à Ouaga ou Abidjan ou encore Dakar sont exclus des plans de vols de Air-France le temps que la CEDEAO lève ses sanctions.
A suivre...
La ligne Paris-Bamako est l’une des plus lucratives du groupe Air-France KLM en direction de l’Afrique, selon de nombreux observateurs.
Les commentaires vont bon train notamment sur les réseaux sociaux après la diffusion du document de l’aviation civile malienne.
« Pendant que Air Côte d’Ivoire, Air Sénégal et Air Burkina, en bons toutous du colon, ont fermé leurs dessertes du Mali et perdent leur chiffre d’affaire, Air France a renégocié chap chap la reprise de ses vols sur Bamako…« , a commenté Nathalie Yamb, femme politique, activiste et militante suisso-camerounaise installée en Côte d’Ivoire.
Et TOTO A DIT aussi dit que les Africains décident de boycotter la compagnie air FRENCHIE, pour celles la mêmes qui ont accepté de les epauler quand d'aucuns accepter de les saboter , abandonner.....et ces compagnies aériennes sœurs et amis TURKISH AIRLINES, ETHIOPIAN AIRLINES, AIR MAURITANIA .....entre autres .....
Et qui n'est pas content... N'est ce pas son problème OOOOOOOOOO
Et que TOTO A DIT partage ......aller à la ligne demeure une option OOOOOOOO ......
.Ophtalmologiste de profession (retraité de l’IOTA et de la Faculté de médecine) et politique à ses «heures perdues», Pr. Sanoussi Bamani est un acteur du Mouvement démocratique malien. Il est en effet membre fondateur de l’ADEMA Association et de l’Adema PASJ ainsi que membre fondateur des Fare Anka Wuli (Forces Alternatives pour le Renouveau et l’Emergence). Mais dépité par la gouvernance du pays, comme beaucoup d’acteurs anonymes du Mouvement démocratique, il a pris ses distances de la scène politique. N’empêche que ce professeur émérite demeure un observateur averti de l’évolution du pays. Dans cet entretien, il nous livre son analyse sans complaisance de la démocratie, de la gouvernance politique, de la transition en cours, de l’insécurité, des relations franco-maliennes…
Interview ! Le Matin : Nous avons l’impression ces dernières années que vous vous êtes volontairement mis à l’écart de la vie politique active.
Est-ce juste?
Sanoussi Bamani : Je reste toujours un militant de la cause du Mali qui reste ma passion.
Impossible de rester à l’écart de la vie politique
quand son pays est attaqué de l’intérieur et de l’extérieur..
Qu’est-ce qui explique ce choix de prendre une distance avec la vie politique ?
Avec l’arrivée de IBK au pouvoir en 2013, je ne me reconnaissais plus dans la politique menée par lui et ses partisans. Le parti FARE avait décidé d’être dans l’opposition au cas où son candidat ne serait pas élu président. Je me sentais à l’aise dans l’opposition et j’ai passé 7 ans dans l’opposition pour combattre ce régime qui venait de s’installer grâce à la mansuétude de la junte militaire dirigée par Amadou Haya Sanogo et à l’immixtion des leaders religieux dans le jeu politique. Dans nos sociétés, la place naturelle des religieux est d’être au-dessus de la mêlée et d’arbitrer le jeu politique. Hélas, on a vu le résultat de ce compagnonnage IBK-Junte militaire-«Sabati 2012» qui a mené le Mali dans l’abîme.
Certains analystes pensent que notre pays en est là aujourd’hui parce que des intellectuels vertueux comme vous se sont éloignés de la politique ?
Beaucoup de cadres se sont éloignés de la chose politique à cause du comportement peu orthodoxe de nos hommes politiques qui se servent de la politique comme moyen d’ascension sociale en oubliant le peuple. Je comprends leur position, mais ne la partage pas. On n’a pas le droit de laisser son pays en des mains incertaines et peu vertueuses. C’est pourquoi je me bats au sein
de formations politiques crédibles comme les FARE qui avaient comme credo de faire la politique autrement. Le parcours de son président, Modibo Sidibé, m’a incité à le rejoindre pour la construction d’un autre Mali. Quand on veut bâtir son pays, on ne vient pas pour se servir mais pour servir sa patrie en mettant en œuvre l’idéal pour lequel on se bat depuis des années !
Depuis 2012, le Mali est confronté à une crise institutionnelle qui est en partie à la base du chaos sécuritaire. Est-ce l’échec de notre modèle démocratique ?
Le putsch de 2012 avec la venue de Amadou Haya Sanogo au pouvoir est la conséquence de la piètre qualité de la classe politique adossée à une société civile aussi politisée qu’incompétente. Notre modèle démocratique demande à être revu : les partis politiques doivent s’assumer et accepter que la majorité gouverne et que l’opposition joue son rôle de veille démocratique. Il est essentiel de revoir la concentration des pouvoirs entre les mains d’un président de la République, certes élu au suffrage universel direct, qui contrôle presque toutes les autres institutions du pays. Il faut donner plus de force aux institutions et leur donner les moyens de jouer véritablement leur rôle au lieu qu’elles soient des appendices de l’institution président de la République (PR). Les contre-pouvoirs ne fonctionnent pas correctement par la volonté
des PR de contrôler toutes les institutions. Les sociétés civiles, qui normalement doivent avoir une grande place dans le fonctionnement de la démocratie, se sont politisées et font la cour assidûment au pouvoir. Impossible de s’en sortir
La démocratie malienne était pourtant citée en exemple dans le monde jusqu’en 2012 ?
La démocratie malienne était effectivement citée en exemple de 1992 à 2012 !
En cela, il faut saluer la bonne tenue de la Conférence Nationale de 1992 et des élections présidentielles, législatives et municipales en plus de la vitalité du Mouvement Démocratique, acteur de la Révolution de Mars 91.
L’ADEMA et le président Alpha Oumar Konaré notamment, sont indexés dans cette situation parce que n’ayant pas pris d’actes pour consolider le processus ?
L’Adema PASJ a fait les premiers pas de la démocratie au Mali avec l’élection de Alpha Oumar Konaré comme premier président démocratiquement élu. Il a travaillé dans des conditions de départ très difficiles avec la rébellion au nord et la guérilla au sud avec l’AEEM (Association des élèves et étudiants du Mali) et une frange de l’opposition qui n’acceptait pas sa défaite. Les troubles ont continué jusqu’en 1994 et c’est à partir de ce moment que le pays a connu des moments de stabilité. Il est injuste de vouloir accabler AOK.
dans les faiblesses de gestion de la jeune démocratie naissante. Certains veulent accabler le pouvoir de l’époque d’avoir laissé la corruption s’installer. Elle existait déjà sous GMT (Général Moussa Traoré) au sein de l’armée et de la société. Mais, il faut être objectif et reconnaître que certains cadres de l’Adema n’ont pas donné des signaux de bonne gestion des biens publics.
Et depuis 2012, le pays a du mal à mettre en place un environnement politique apaisé, consensuel… A qui la faute ?
La faute à l’argent roi qui est venu s’installer en maître absolu et a pollué l’atmosphère politique. La boulimie des hommes politiques pour l’argent sale a fini par les décrédibiliser. La corruption et la mauvaise gouvernance ont détruit ce qu’il y avait de sain dans notre société.
Aujourd’hui, les regards sont tournés vers les autorités de la transition. Etes-vous pour ou contre sa prolongation (l’interview a eu lieu avant la phase nationale des assises nationales de la refondation ?)
Il faut être objectif et reconnaître que le pays ne peut plus continuer à être géré comme il l’est. L’insécurité qui était localisée au nord a fini par métastaser au centre du pays. Il est impossible de tenir les élections en février 2022 et on doit être très ferme avec nos partenaires pour qu’ils arrêtent de mettre la pression sur les autorités de la Transition.
Nous refusons de faire des élections bâclées qui vont nous ramener à la case-départ, celle des coups d’état ! Mais, il ne faut pas non plus que la Transition s’éternise. Raisonnablement on peut prolonger d’une année, jusqu’en 2023 .
Selon vous, quelles doivent être les priorités absolues pour les autorités de transition ?
Pour moi, les priorités absolues de la Transition doivent être de ramener la sécurité sur toute l’étendue du territoire en relisant l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale qui nous a été imposé et en donnant les moyens humains, matériels à notre armée pour mener cette mission. La lutte implacable contre la corruption doit permettre de modeler un nouvel homme politique malien .
Malgré les efforts consentis et la présence de plusieurs forces internationales alliées, l’insécurité s’étend progressivement à tous les pays. Que préconisez-vous pour l’enrayer et stabiliser le pays ?
Pour enrayer l’insécurité, l’expérience que nous vivons depuis 2013 avec l’arrivée de Barkhane, de la Minusma n’est pas la panacée : depuis 8 ans et les moyens colossaux injectés, l’insécurité s’est étendue vers le centre. Cet échec doit amener le Mali à revoir son partenariat et à chercher d’autres partenaires qui lui permettront d’avoir des équipements adaptés. Il faut donner les moyens à notre armée d’assurer ses missions régaliennes de défense du territoire.
Le combat contre le terrorisme divise aujourd’hui les autorités maliennes et françaises avec des accusations de trahison de part et d’autre. Une rupture avec la France est-elle dans l’intérêt du Mali ?
Je souhaite que le Mali conserve son partenariat avec la France dans le respect mutuel. La pression exercée par la France sur le Mali pour lui imposer certains partenariats et récuser d’autres est inacceptable. Il faut que la France comprenne que l’intérêt du Mali prime et notre souveraineté ne peut être remise en cause par qui que ce soit !
Que doit-on privilégier à l’avenir dans les relations franco-maliennes voire franco-africaines ?
L’intérêt du Mali et de l’Afrique c’est de nouer un partenariat gagnant-gagnant basé sur la fin de la France-Afrique, du F CFA.
La jeunesse africaine est maintenant très politisée et consciente de ses missions et devoirs. Elle refuse l’asservissement de ses dirigeants.
Quel est votre vœu pour 2022 ?
La paix, la sécurité sur toute l’étendue du territoire, la maîtrise de notre sol et de notre sous-sol et des dirigeants qui aient souci du bien public en luttant farouchement contre la corruption.
Et
Et....
"Quand on veut bâtir son pays, on ne vient pas pour se servir mais pour servir sa patrie en mettant en œuvre l’idéal pour lequel on se bat depuis des années"
Pour dire Ooooo la politique n'est pas un fond de commerce où même les fonds de la défense nationale sont MANGÉS entre escrocs couillons d'État et chenapans margouillats avec comme message ARABAA....partageons....pour les militaires ....ils peuvent se faire massacrer même avec des armes inadéquats et munitions défectueuses.....quand ces TERRORISTES financiers font la fête et continuent à narguer le bas peuple sous leur Jetwiste ( justice ) Sous cap.... à ordre....
Tu as raison c’est notre faute de laisser les terroristes et leur maîtres s’installer chez nous et foutre le bordel. En 8 ans que la France est au Mali, le terrorisme a augmenté exponentiellement et le Mali a perdu Son territoire. Tu as raison c’est notre faute, on aurait du savoir qu’ils sont le problème et non la solution.
Mais too aussi tu n’es pas nigérien. Tu es français, tu crois qu’on ne le sais pas?
Donc pour toi il faut payer les maline pour soutenir l’indépendance et la souveraineté de leur pays ? Quelle insulte
Toi, tu dois etre un adepte de la secte rose pour tourner le dos a une manifestation de confiance a des dirigeants patriotes qui diffèrent des vassaux de la france qui sont a la tete des autres etats de la cedeao
Mon frère, les politiques et rose, je connais pas et je m’en fiche éperdument. Je vote même depuis plus de 20 ans.
Le jour où je recommencerai à voter c’est sûrement pour moi même.
Pour l’auâtre qui pense que je suis français. La France moi je connais, c’est d’ailleurs pas une priorité chez moi.
J’aime simplement mon pays peut être plus que toi et bcp d’autres ici car je paie mes impôts sur mes revenus tirés de mon travail. Voilà. C’est ça aimer son pays.
S’agissant du voisin mali, j’ai des amis là bas qui m’on rapporté que Choguel et les petits colonels ont acheté des gens pour marcher et insulter comme ils savent le faire.
Revenez dans qq semaines et vous verrez que les gens de Kati seulement. Renseignez-vous !!!!
Il est soit un Francais ou un traitre qui soutient nos ennemies.
Seul un français peut s'opposer à l'indépendance total du Mali et préfère une élection truquée et bidon qu'on partout en Afrique au detriment de la liberarion de Mali, de sa secutite et dela reconquete de son territoire. Les Farncais ont lamenttablement echoue au Mali, il est clai qu’ils sont incapable de combattre les terroristes, bien au contraire ils sont les amis de ces terroristes. Le Mali et l’afrique francophone seront libere, que tu le veuille ou pas. Vous nous enmmerdez avec vos elections, alors dis moi, est ce qu’il ya des lection au Maroc, en Arabie Saoudit, en Kuwait, etc.. mais pourtant ils sont mieux que nous. Meme nous on était mieux avant ces putains d’elections