FENIFOOT : le français Jean-Michel Cavalli va s’engager avec le MENA national
Le technicien français Jean-Michel Cavalli vient d’arriver à Niamey où il va s’engager avec la Fenifoot pour prendre en charge le Mena, l’équipe nationale. Il remplace à ce poste un autre français, Jean-Guy Walemme, arrivé en novembre 2019 et dont l’aventure nigérienne a été assez brève.
Selon le communiqué de la Fédération nigérienne de football (FENIFOOT), publié ce dimanche 27 septembre 2020, le technicien français Jean-Michel Cavalli est arrivé à Niamey, « dans l'optique de s'engager avec l'équipe nationale du Niger ». Il a été accueilli à l'aéroport International Diori Hamani par le secrétaire général de la FENIFOOT. « Un accord a déjà été trouvé et il ne restera que la signature officielle dans les prochains jours. Une fois à la tête du Mena, l'entraîneur âgé de 61 ans aura pour principale mission de ramener le Niger vers le chemin du succès », précise la même source.
Le MENA national aura donc encore un français comme sélectionneur après la mésaventure, fin 2019, d’un autre français, Jean-Guy Walemme, qui n’a été entraineur national que durant quelques mois avec à la clé, deux défaites dans le cadre des éliminatoires de la CAN prévue au Cameroun et une débâcle de l’équipe nationale battue par 2 buts contre à 6 face à l’équipe nationale de Madagascar au Stade Général Seyni Kountché de Niamey.
Sélectionneur de « seconde zone »
Le corse Jean-Michel Cavalli aura comme mission de redorer le blason du MENA national, déjà mal engagée pour la suite des éliminatoires de la prochaine Coupe d’Afrique des nations (CAN). Ancien entraineur d’équipes françaises, il a aussi officié en Algérie et au Maroc et a été champion et vainqueur de la Coupe d’Arabie Saoudite avec le club Al Nasr de Ryad en 1994. Dans le milieu footballistique, c’est ce qu’on appelle un « sélectionneur de seconde zone », qui est appelé à la rescousse du Mena National. Sans grande expérience avec les équipes africaines, il va s’engager pour un projet assez ambitieux au regard de la situation de l’équipe nationale et des prochains rendez-vous pour les compétitions internationales qui vont reprendre d’ici peu après la longue suspension et les reports imposés par la pandémie du Covid-19.
A.Y.B (actuniger.com)
Commentaires
Même s'il y a besoin, ce n'est pas une priorité.
Il faudra surtout se souvenir que globalement, les entraîneurs locaux ont fait mieux que les expatriés qui coûtent beaucoup beaucoup beaucoup plus chers.
Songez messieurs de la FENIFOOT à réduire le gaspillage inutile de ressources.
Bien dit l’entraîneur blanc va ramasser ses millions et rentre dans son pays, il n’a rien à foutre de la réussite d’une équipe de foutball nigérien or l’entraîneur nigérien fera tout pour que le drapeau
du Niger soit connu par le monde entier .
Quel complexe!!
N'importe quel RETRAITÉ ou FATIGUÉ toubabou au crépuscule de sa carrière est balancé en Afrique , affublé du titre ENTRAINEUR NATIONAL pour entraîner des SINGES ...comme disait this M O T H E R F U C K E R of SARKOZY dans sortie du 11 septembre....
Ces entraîneurs blancs se rempliront les poches comme pas possible alors que dans leurs pays respectifs ils n'entraînement même pas une ÉCOLE DE QUARTIER ... Dans leur pays respectif leur place tout au plus est une maison de retraite et leur pension de retraite ... Alors qu'au Niger, ils ont droit aux honneurs officiels , grande maison, chauffeur, cuisinnier, jardinier, voiture de fonction, etc.... Alors que dans son pays ce DIT ENTRAINEUR ne sera tout au plus qu'un potentiel HIPPIE..
N'y a t il pas d'entraîneurs méritant au Niger , en Afrique à qui l'on peut donner cet argent en place et lieu de ce vieux SINGE BLANC appelé " entraîneur" , il a entraîné quelle équipe championne du monde dans sa vie?