Dans la nuit du samedi 24 novembre, six (06) ex-combattants de Boko Haram se sont évadés du centre de déradicalisation de Goudoumaria, une localité située à environ 187 kilomètres de Diffa. Ce centre où sont hébergés les ex-combattants de Boko Haram qui ont accepté de déposer les armes dans le cadre d’un programme de grâce du gouvernement.
Selon des témoins de l'évasion, ses ex combattants de Boko haram ont profité d’une opération humanitaire de distribution de kits pour s’évader.
Selon des sources sécuritaires, quatre (4) d’entre eux ont été rattrapés suite à l’opération de recherche lancée subséquemment. Il s’agit des plus jeunes (30-35ans) ajoute la source. L’un des « repentis » ayant pris la fuite aurait usé d’une arme blanche conte les éléments des forces de sécurité qui étaient à leurs trousses. Ces derniers ont riposté par un tir qui l’a atteint à la main permettant ainsi sa capture. Le blessé a été conduit à l’hôpital de Diffa pour y recevoir des soins. Ses trois compagnons se trouvent, quant à eux, sous bonne surveillance de la gendarmerie nationale. L’opération de recherche se poursuit afin de retrouver les deux (02) autres personnes évadés.
Cette évasion intervient quelques semaines après l’adoption par le gouvernement nigérien d’une révision du code pénale pour ouvrir la voie à une réinsertion de ces combattants cantonnés depuis plus d’un an dans ce centre de Goudoumaria.
AbdoulKarim Moumouni
Commentaires
Nous avons suivit avec attention ces gens là endoctrinés (d'autres par carence éducatif et d'autres à dessein) qui seront sans aucun doute difficile de les réintégrer dans la population (connaissant notre esprit de vengeance ).
Pour ma part je souhaite qu'on delocalise Le camps et le réinsérer dans une autres région.
Qui paiera même les frais de soins du blessé ?
L'Etat doit organiser régulièrement des séances d'éxécutions télévisées à 20h30 ,et ce en direct de TONDIBIAH.
C'est la seule façon de leur montrer la terreur réciproque ,le chagrin qu'ils font vivre beaucoup de familles innocentes
Par contre si c est des partisans qu on captures lors d un affront ou d un raid avec leurs armes, bien sûr que le seul recours qui reste c est de les exécuter de la plus sûre des manières.
Je suis parfaitement d'accord avec toi frère ou soeur je suis témoin vivant du traitement combien bienveillant dont ils bénéficient !!! Niger kénan
En principe ils méritent une mort cruelle