Mohamed Bazoum répond à Amnesty International : « Nous ne violons pas les droits de l’Homme »
Mardi 11 juillet, Amnesty International a appelé les autorités du Niger à annuler les charges retenues contre plusieurs journalistes, leaders de la société civile et activistes politiques détenus, selon l’ONG, arbitrairement, et à les libérer sans condition. Le ministre de l’Intérieur du Niger, Mohamed Bazoum, joint mardi 12 juillet par Jeune Afrique, soutient que chacune des personnes défendues par l’ONG a commis au moins une infraction.
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