Lettre à ma sœur Malika Issoufou (Par devoir et par fraternité)
Chère sœur,
Je profite de ce début d’année 2018, pour t’adresser ce message fraternel. Tu seras très certainement surprise. Tu le sais sans doute, j’ai récemment plaidé, auprès de qui de droit, la cause du général Salou Souleymane, de son fils et de ses compagnons d’infortune et dans l’affaire du coup d’Etat, des prisonniers de « l’affaire cellule crises alimentaires » et OPVN, à savoir Malla Ari, Idé Kalilou et Bakary Seydou et autres, qui croupissent en prison depuis 2015 pour des raisons semble-t-il politiques ainsi que le sort des militaires radiés.
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